2014 : beaucoup de pain sur la planche

<i>Jan Eyndels, Président Général</i>
Jan Eyndels, Président Général

(03/01/14) - Dans son allocution de nouvel an, Jan Eyndels, Président général du SLFP, en a appelé à se retrousser les manches. “Il y a du pain sur la planche. Si vous faites la somme de tout, vous savez qu’une organisation telle que le SLFP est de première nécessité en Belgique. Je suis certain d’une chose : nous ne baisserons pas les bras et cette année encore nous resterons très vigilants.”

Une année de ‘Grand Cru’

Le Président a annoncé que 2013 fut une fois de plus une année de ‘Grand Cru’ pour le SLFP : ‘Du côté des affiliations, nous avons encore connu une nouvelle progression.’ Il a remercié tous les membres pour leur engagement, car seuls l’engagement et l’ardeur au travail ont permis d’obtenir ce splendide résultat.

Le Président Eyndels a qualifié 2013 d’année difficile pour le fonctionnaire. Avec les économies appliquées par les autorités, les réductions de personnel, la suppression de primes, le grignotage du statut, le gel des salaires et la manipulation de l’ind

“J’en ai marre”

Jan Eyndels : Je dois vous avouer que j’en ai plus que marre de ces attaques de la part de la famille libérale.

L’Open Vld a été surtout le point de mire du Président général : “Dans les résolutions de leur congrès, ils ont trouvé nécessaire de relancer sournoisement – ce sujet n’était pas repris dans les textes des résolutions – la question de la personnalité juridique des organisations syndicales.
Je dois vous avouer que j’en ai plus que marre des attaques de la part de la famille libérale.” Le Président Eyndels a ensuite passé en revue tous les défis à relever par chaque groupe du SLFP. Le Groupe Cheminots a recueilli des applaudissements nourris pour son agrément à la SNCB.

Pas le porte-monnaie de Thijs

L’actualité a bien sûr été abordée avec le départ de Johnny Thijs chez bpost. A ce propos, le Président Eyndels s’est exprimé comme suit: “ Johnny Thijs a effectivement contribué au renouveau de l’entreprise postale belge. Qu’un tel homme perçoive une ‘juste rémunération de son travail’ ne me pose aucun problème. Mais pour certains ce n’est apparemment jamais assez vu que le CEO a décidé entretemps qu’il ne veut plus travailler pour un salaire de misère de 650.000 euros. Il devrait s’agir en premier lieu de l’avenir de l’entreprise et des jobs des postiers, Monsieur Johnny Thijs, et non de votre porte-monnaie.”

Lisez l’allocution complète du Président Jan Eyndels

Reportage-photos

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